L’art dit contemporain, par sa charge de négativité, d’atrocités conceptuelles et de violences symboliques, ne fait que contribuer à l’inquiétant désordre mondial actuel, voire accélérer l’avènement du grand effondrement des repères et des valeurs qui s’annonce dans tous les domaines.
Mais on doit pouvoir compter sur l’art que nous aimons, éternel, intemporel, partageable au-delà des frontières culturelles, comme ultime planche de salut contre la barbarie, pour reconstruire le lien naturel entre les humains et restaurer la fraternité entre les peuples.
Ce livre nous propose un constat, sur un mode plutôt roboratif, des terrifiantes exactions de cet art sans art, arrogant, sans contenu sensible ni intelligence ni poésie, qu’est l’art qualifié de contemporain à la faveur d’un scandaleux hold-up sémantique. Il apporte des pistes de réflexion et des éléments d’analyse pour que puisse se faire bientôt un véritable démontage d’ordre psycho-patho-sociologique des mécanismes de cette déshumanisation de l’art au nom d’un progressisme idéologique des plus pervers, délitant et ravageur de sens.
L’auteur : Artiste, critique d’art, galeriste ? Peu de gens connaissent l’identité réelle de la personne connue ou non qui se cache sous ce pseudonyme : Nicole Esterolle. Elle a choisi cette « clandestinité » pour que son éventuelle notoriété ne perturbe pas la réception des informations et des réflexions fournies dans les irrévérencieuses chroniques.Elle accomplit parallèlement un important travail pour révéler la richesse et de la diversité de la création actuelle en tous pays, avec le site nicolemuseum.fr et le magazine en ligne la Gazette de Nicole, qui ont tous les deux un très grand lectorat international.
Elle a publié deux livres aux Editions Jean-Cyrille Godefroy : La bouffonnerie de l’art contemporain en 2015 et l’ABC de l’art Contemporain en 2017.
Coup de tonnerre dans l’histoire de l’art
Coup de tonnerre dans l’histoire de l’art :
La fameuse pissoire de Duchamp ne serait pas l’œuvre de celui-ci !
La question est d’importance, car il en va du dogme fondateur de l’art dit contemporain et de la géopolitique planétaire de celui-ci.
Coup de tonnerre dans PAF (Paysage Artistique français) en 2014 : la fameuse pissoire ne serait donc pas de Marcel Duchamp, mais de son excellente et très foutraque copine la baronne Elsa von Freytag-Loringhoven, qui aurait fait aussi l’œuvre intitulée « Dieu » (constituée d’un siphon et d’éléments de tuyauterie en plomb) avant de se suicider peu de temps après.
Importante nouvelle en effet, car avec cette petite d’imposture :
– C’est un énorme système qui s’effondre par la destruction de sa clef de voûte, de la colonne vertébrale de la pensée artistique d’État, et de l’équilibre mental de centaines de fonctionnaires de l’art contemporain.
– Ce sont des dizaines de post-copies numérotées et signées du prophète, qui ne valent guère plus, chez Sotheby’s ou Christie’s, que le prix de leur achat chez Leroy Merlin.
– C’est l’acte de martelage et compissage de notre ami Pinoncelli qui perd de sa valeur symbolique (on comprend d’ailleurs mieux pourquoi, Pinoncelli ayant, lors d’une rencontre à New York, annoncé à Duchamp son projet d’intervention sur la « Fountain », le maître lui aurait dit « faites ce que vous voulez ! »)
– Ce sont les arguments : « pas d’amalgame, ne pas confondre Duchamp avec ses épigones » et « ne jetez pas le bébé avec l’eau de la pissoire », qui ne sont plus opératoires dans la bouche de la bien-pensance duchampo-gauchiste.
– C’est l’image de l’art français en Chine qui en prend un sacré coup, compte tenu de l’intérêt tout fraternel que le Président Mao portait, au temps de sa révolution culturelle, à ce symbole de la révolution artistique duchampienne concomitante.
– C’est enfin une bonne moitié des critiques d’art membres de l’AICA, qui sont complètement déboussolés, traumatisés et vont avoir besoin d’un sérieux accompagnement psychologique.
Car selon Wikipédia, je cite : « certaines sources tendent à démontrer que la fantasque baronne serait l’auteure de l’œuvre d’art “Fountain”, attribuée Marcel, même si celui-ci a toujours maintenu qu’il avait acheté l’urinoir au magasin J. L. Mott à New York. Or, il est établi que ce magasin ne vendait pas ce modèle particulier d’urinoir. Et qu’en outre, le 11 avril 1917, soit deux jours après le rejet de l’œuvre, Duchamp écrivit à sa sœur Suzanne Duchamp, à l’époque infirmière de guerre à Paris, que l’une de ses amies avait envoyé un urinoir en guise de sculpture et sous le nom de R. Mutt. »
Rappelons aussi que cette affaire va devenir mondiale, car il existe 17 exemplaires de Fountainconnus de cette édition produite par Arturo Schwarz en 1964. Dont ces huit exemplaires datés, signés, numérotés par Duchamp lui-même :
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