Description
Les racines de la Bible ne sont ni babyloniennes ni grecques, mais bien égyptiennes. Les dernières découvertes de l’archéologie révèlent l’existance des Hébreux en Egypte. Descendants des artisans d’el-Amarna, la capitale d’Akhenaton, et sur fond de conflits religieux, ils quitteront l’Egypte vers 1090 -1070 av. J.C. et parviendront à Jérusalem vers 950 av. J.C., s’implantant dans les régions inhospitalières des monts de Judée.
Présentation
Les études archéologiques conduites en Israël ces 20 dernières années ont jeté un trouble. Les vestiges ne correspondent pas au texte de la Bible surtout pour la période historique du séjour en Égypte et de l’Exode. Cela donne lieu à des affrontements épiques entre les minimalistes, ceux qui déclarent que tout ce qui est écrit dans la Bible n’est que pure invention, et les maximalistes, qui eux s’accrochent au texte et ne jurent que par lui.
Or, le Professeur Joseph Davidovits démontre qu’il existe des preuves archéologiques et des correspondances avec le texte biblique. La raison est simple : les archéologues cherchent le peuple Hébreu parmi des bergers sémites mis en esclavage, mais ne trouvent pas de trace. En revanche, Davidovits démontre que les Hébreux étaient en réalité des Égyptiens. En changeant cette origine, de nombreux textes hiéroglyphes, des stèles égyptiennes et des vestiges archéologiques prennent enfin tout leur sens. Les conséquences sont spectaculaires.
Tout commence par le Patriarche Joseph, le « premier Hébreu ». Il a désormais un visage et un nom : celui d’Aménophis Fils de Hapou, le plus grand scribe et savant de l’Égypte, qui inspira Akhenaton, le pharaon monothéiste. La preuve : une stèle égyptienne authentique est recopiée mot pour mot dans la Bible. Cela démontre que les égyptologues avaient les éléments, mais n’ont pas fait (ou refusé de faire) leur travail de comparaison. L’existence des Hébreux en Égypte et la date de l’Exode sont prouvées, sur fond de conflits religieux, de luttes de pouvoir et d’une révolution avortée. Les Hébreux, en égyptien ubrus, sont les descendants des adeptes du pharaon monothéiste Akhenaton. Les égyptologues savent que des hauts personnages de cette période ont une filiation et un rapport avec les Hébreux, mais ils leur manquaient des éléments. De plus, les autorités égyptiennes refusent toute analyse ADN (une vraie conspiration). Ce scandale, qui les dérange politiquement, est enfin dénoncé.
Cette théorie est dans l’air du temps depuis quelques années et Joseph Davidovits découvre enfin le chaînon manquant. Il confirme les propos de certains chercheurs. Les racines de la Bible ne sont ni babyloniennes ni grecques, mais bien égyptiennes. La Bible avait raison !